La pandémie de Covid-19 a été un événement majeur qui a marqué le monde en 2020. Le virus, détecté en décembre 2029 à Wuhan, en Chine, a rapidement fait le tour du monde, devenant ainsi une crise sanitaire mondiale. L’OMS a annoncé, le 11 mars 2020, que la Covid-19 était désormais considérée comme une pandémie. Une maladie qui a occasionné des crises économiques, pertes en vie humaines.
La Covid-19 est provoquée par le virus connu sous le nom de SARS-CoV-2. Il appartient à la famille des coronavirus, un groupe de virus provoquant des problèmes respiratoires. Pour faire face à une propagation rapide du virus, de nombreux pays ont eu recours à des mesures sanitaires. Il s’agit entre autres mesures des confinements, quarantaines, restriction de voyage, distanciation physique. Des mesures provisoires en attendant la réalisation d’un vaccin contre le virus de la Covid-19.
La course au vaccin…
Pour apporter une réponse sanitaire urgente, les scientifiques du monde se lancent dans une course pour trouver un vaccin efficace face au virus.
C’est en décembre 2020 que des agences de régulation ont autorisé de façon urgente les premiers vaccins contre la Covid-19. Il s’agit de Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, etc. Malgré ces efforts de la part des scientifiques, beaucoup de personnes doutaient de l’efficacité de ces vaccins. D’autres ont refusé de se faire vacciner par crainte des conséquences post-vaccination. N’ont-elles pas raison, compte tenu de la rapidité avec laquelle ces vaccins ont été développés ? Cette réticence, combinée à une pénurie de doses dans certains pays, a ralenti le rythme de la campagne de vaccination.
Une pandémie déclarée sans bilan des centres hospitaliers universitaires (CHU)
Malgré ces obstacles, les vaccins ont, bien que de manière limitée, contribué à la lutte contre la Covid-19. Cependant, il reste difficile d’évaluer l’apport des CHU dans cette lutte, en raison de l’absence de rapports émanant de ces structures. Que craignent-elles en ne publiant pas ces informations ? Un rapport détaillé permettrait pourtant d’identifier leurs faiblesses, offrant ainsi une occasion de mieux se préparer et d’anticiper d’éventuelles crises sanitaires à venir.
Le flou persiste autour de cette crise. Les populations restent sans réponse quant à l’efficacité des traitements et au taux de mortalité, malgré les promesses d’un suivi rigoureux et d’un bilan complet sur les impacts de la Covid-19. Il s’agit notamment d’évaluer les effets de la pandémie sur les institutions publiques de santé, ce qui soulève des interrogations sur la gestion de la crise, tant au niveau national qu’international. Les citoyens ne disposent toujours pas d’informations officielles précises sur le nombre de patients pris en charge, les types de soins administrés, ou encore les éventuels effets secondaires des vaccins. Autant de questions qui demeurent sans réponse de la part des autorités compétentes.
Dans certaines parties du monde, la pandémie ne fait plus trop peur. Même si elle continue d’évoluer, la vaccination combinée aux traitements antiviraux ont permis sa maîtrise progressive. Une crise dont la gestion, notamment au niveau des CHU reste un sujet à débattre. Il est plus que nécessaire de dresser un rapport détaillé des données sanitaires pour tirer les enseignements de cette pandémie. Une étape importante pour pouvoir préparer le monde dans de futures crises sanitaires.
La pandémie de Covid-19 devrait être pour le monde une occasion de découvrir les forces et faiblesses de nos systèmes sanitaires. Elle révèle l’importance qu’il y a dans la coordination mondiale pour une lutte plus efficace dans la lutte contre les menaces sanitaires communes. Le rôle des vaccins dans cette lutte est important. Même si la transparence dans la gestion des données reste toujours un flou. Cependant, il est crucial de faire un bilan complet pour assurer une réponse plus efficace face aux défis sanitaires futurs.